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- Résistance fumeurs : En griller une sans se faire griller, un article de Paris Obs
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- Vidéo de Bakchich info : Ces bars où l'on peut fumer clandestinement à Paris
- HARCELEMENT ANTI-FUMEURS - Une Suédoise obligée de créer une zone non-fumeur dans son propre jardin : Jusqu'où interdire de fumer ?
- A propos de l'OMS qui n'embauche plus de fumeurs depuis 2005 : Un article remarquable et plus que jamais pertinent publié sur le site de l'Association des Médecins du Canton de Genève
- Regarding WHO which doesn't hire smokers since 2005: A remarkable and still relevant article published on the Website of the MD Association of the Geneva canton
- Le tabac et l'alcool ne sont pas responsables de l'augmentation d'incidence des cancers
- Tobacco and alcohol are not responsible for the increased incidence of cancers
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- L'INTERDICTION DE FUMER POUSSE UN PATRON DE BAR AU SUICIDE
- Y'EN A MARRE ! L'Europe veut désormais interdire les terrasses chauffées
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- ENSEMBLE : naissance de l'ANCHRE (Association Nationale des Cafés Hôtels Restaurants Engagés)
- Le Parisien, Edition de Seine-Saint-Denis du vendredi 28 mars : Résistance !
- COURRIER INTERNATIONAL (n° 908 du 27 mars au 2 avril 2008) consacre son dossier central aux interdictions
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- Une chanson célèbre de 1931 interprétée par Berthe Sylva, du temps où le tabac n'était pas encore censuré
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- La forme est légère mais le fond l'est moins : quand Didier Bourdon dénonce en chanson tous les interdits de notre société
- L'interview exclusive du Professeur Molimard le 27 janvier 2008 par Doktor Glub
 MOUVEMENT DES FUMEURS ET NON FUMEURS TOLÉRANTS : CAMPAGNE DE PROTESTATION AUPRÈS DES MEDIA | Mise en ligne : vendredi 16 mai 2008
Aux personnes, vivant en France ou non mais désireuses de participer à cette campagne : Il vous suffit d'envoyer le texte aux adresses mail qui suivent et de signer en bas du texte en votre nom, surnom, pseudonyme, nom d'association, site, blog...
A - TEXTE MODÈLE, MODIFIABLE SELON VOTRE GRÉ ET CELUI DES NOMBREUSES PERSONNES À QUI VOUS TRANSMETTREZ CETTE INVITATION À PARTICIPER À LA CAMPAGNE "MÉDIAS, SECOUEZ-VOUS"
Bonjour,
>- Pourquoi, depuis l'application le 2 janvier 2008 du décret anti-tabac votre média a donné presque uniquement la parole aux anti-fumeurs alors qu'un mouvement de fumeurs en lien étroit avec l'association l'ANCHRE (regroupement de propriétaires de commerces conviviaux) se bat pied à pied pour le droit des propriétaires à décider eux-mêmes si leur lieu sera fumeur ou non ?
>- Comment se fait-il que vous ne relayiez pas les informations sur les pays où les mesures contre les fumeurs et les propriétaires de commerces conviviaux sont beaucoup moins draconiennes qu'en France (Autriche, Allemagne, Espagne) ? Serait-ce parce que vous tenez à faire croire que l'Europe entière impose des mesures à la française et pire encore ?
>- Pourquoi des informations aussi hallucinantes que "Selon une étude menée dans une trentaine de services d'urgence, le nombre d'infarctus du myocarde a diminué de 15% depuis le mois de janvier, soit depuis l'entrée en vigueur du décret qui interdit de fumer dans les cafés et restaurants. Une baisse importante qui peut s'expliquer scientifiquement même si elle doit être confirmée par d'autres enquêtes plus larges. » sont relayées à tout va ?
>- Comment pouvez-vous croire un seul instant à la crédibilité de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé)lorsqu'elle affirme dans sa publicité sur la journée internationale sans tabac qui se tiendra le 31 mai 2008 : « Le tabagisme est la principale cause de décès évitable dans le monde »(http://www.who.int/tobacco/wntd/2008/fr/index.html), ce qui supposerait que la faim (voir : www.croix-rouge.fr), véritable première cause de mortalité mondiale, serait inévitable ?
>- Pourquoi relayez-vous sans broncher l'idée que le tabagisme passif est un fait incontestable alors que nombre de chercheurs et médecins insoupçonnables d'être à la solde des cigarettiers (i.e. : le Pr. Molimard) en contestent, preuves à l'appui, la validité ? (Voir l'entrevue vidéo avec le Pr. Molimard : http://www.noslibertes.org/dotclear/index.php?tag/tabagisme%20passif)
>- Avez-vous consulté le rapport annuel du Bureau International du Travail (BIT), déposé en mai 2007, qui s'inquiète du phénomène de la discrimination à l'embauche des fumeurs ? Notamment au sein même de l'OMS qui n'embauche plus de fumeurs depuis 2005.
>- Savez-vous que l'Europe s'apprête à interdire les terrasse chauffées ?
>AUTREMENT DIT, POURQUOI VOUS PRIVEZ-VOUS ET PRIVEZ-VOUS LA POPULATION D'UNE INFORMATION VÉRIFIÉE ET COMPLÈTE, SEULE CONDITION POUR QUE QUICONQUE LE DÉSIRE PUISSE SE FORGER UNE OPINION ÉCLAIRÉE ?
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| ::Résistance fumeurs : En griller une sans se faire griller, un article de Paris Obs | Mise en ligne : vendredi 16 mai 2008
Source : Nouvel Obs - Paris Obs
Lien : http://parisobs.nouvelobs.com/hebdo/parution/p375_2268/articles/a373094-.html
Auteurs de l'article : Fleur De la Haye, Lise Martin
Date de parution : semaine du 24/04/2008
Pour lire la suite de l'article et accéder directement au lien, cliquer sur l'image ci-dessous : |  |
| SPARTACLOP se met au vert du JEUDI 8 MAI jusqu'au MARDI 13 MAI |  | Besoin de verdure, de repos, et d'une vaste campagne où l'on peut fumer sans que les vaches se plaignent....
SPARTACLOP prend de très courtes (mais très méritées) vacances. Profitez-en pour parcourir en long et en large tous les articles que vous n'avez jamais eu le temps de lire.
SPARTACLOP reviendra avec encore plus d'énergie pour vous tenir informés de toutes les luttes et de toutes les nouvelles concernant l'interdiction du fumer et la défense des libertés.
A très bientôt,
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| Vidéo de Bakchich info : Ces bars où l'on peut fumer clandestinement à Paris | Mise en ligne : mercredi 7 mai 2008
Source : Bakchich info
Lien : http://www.bakchich.info/article3633.html
Auteur du reportage : Renaud Santa Maria
Date de publication : 03/05/2008
BAKCHICH.INFO :
La rumeur était corsée comme un havanitos : quatre mois après l'entrée en vigueur de la loi anti-tabac le 1er janvier 2008, il existerait à Paris plusieurs bars où l'on refuse encore d'écraser le mégot !
Pour tenter d'en savoir plus sur ce scandale sanitaire, la mini-caméra de Bakchich s'est glissée dans la nuit parisienne. Elle a trouvé deux bars, mais il y en a probablement plus à Paris et ailleurs, où tous les soirs, la jeunesse du pays se moque des lois nous protégeant contre nous-même. Pire encore, certains limonadiers encouragent le délit : comme le révèle cette vidéo, des patrons de bar proposent aux fumeurs clandestins des cendriers, offrent du feu, certains allument eux-mêmes la tige de leurs clients. Quelle transgression !
La loi ? Ils la méprisent. L'amende de 135 euros par personne prise dans leur bar en train de fumer ? Fume ! Mais comment est-ce possible ? Pour le savoir, cliquez sur ce monsieur que nous avons surpris se grillant des légères dans un bar à fumeurs clandestins.
Il va de soi que Bakchich ne se tient pas à la disposition de la police pour lui fournir le nom des établissements parisiens et de leurs responsables contrevenants. Respect des sources, mêmes fumeuses.
Pour en savoir plus, allez surfer sur les pages web de BAKCHICH.INFO, magazine satirique d'information et d'enquêtes. |
| | | | A propos de l'OMS qui n'embauche plus de fumeurs depuis 2005 : Un article remarquable et plus que jamais pertinent publié sur le site de l'Association des Médecins du Canton de Genève |  | Mise en ligne : mardi 6 mai 2008
Source 2nde : Association des Médecins du canton de Genève
Lien : http://www.amge.ch/index.php?option=com_content&task=view&id=992&Itemid=96
Source 1ère : Le Temps
Auteur : Eliane Perrin
Date de parution : Mercredi 14 décembre 2005
Pour accéder directement au site, cliquer sur l'image ci-dessus.
Commentaire de SPARTACLOP : un article de fond qui montre bien le glissement pernicieux et dangereux de l'approche de OMS (Organisation Mondiale de la Santé) à l'égard du tabac et des fumeurs, du processus qui a mené à leur stigmatisation et de la discrimination dont ils sont aujourd'hui l'objet. Désirant partager avec les non francophones cet article important, nous avons tenté de le traduire du mieux que nous pouvions en anglais (voir ci-contre).
Depuis le 1er décembre, l'Organisation mondiale de la santé n'embauche plus de fumeurs. Ceux qui mentent encourront des mesures disciplinaires. Est-ce vraiment le rôle de l'OMS de faire la police dans ce domaine?
La décision de l'Organisation est surprenante pour tous ceux qui avaient cru comprendre que, comme la médecine et l'hôpital, la mission première de l'OMS était de lutter contre les maladies à l'échelle mondiale (variole, paludisme, tuberculose, sida, grippe aviaire) et de promouvoir la santé. Et voilà que l'OMS ne lutte plus seulement contre les maladies mais aussi contre les malades! Qu'elle ne se propose plus de promouvoir la santé mais de l'imposer dans les entreprises, la sienne «pour donner l'exemple» ? Est-ce vraiment un bon exemple ? Ou un grave dérapage ?
Cette décision est difficile à comprendre pour les soignants et les travailleurs sociaux comme pour les associations de handicapés et de malades qui luttent depuis des années contre la discrimination à l'embauche, et, plus largement, pour les organisations luttant contre la stigmatisation, l'exclusion et le racisme. Depuis quelques années, ces professionnels et ces associations se battent pour modifier le diagnostic des handicapés et des malades - jusqu'ici basé sur ce qu'ils ne pouvaient pas ou plus faire (leurs incapacités) - en le fondant sur tout ce qu'ils peuvent faire malgré un handicap ou une maladie (leurs capacités). Elles revendiquent l'embauche sur la stricte prise en considération des compétences professionnelles individuelles. En Suisse, les discussions autour de la révision de la loi sur l'invalidité se sont orientées dans cette direction. Or l'OMS, avec cette décision, signifie clairement qu'il ne suffit plus d'avoir des capacités et des compétences pour être embauché. Elle indique que le travail ne doit plus être considéré comme moyen d'insertion ou de réinsertion sociale mais au contraire comme un instrument de punition ou de récompense sociale. Sa politique de prévention continue à s'appuyer sur une politique de la peur, qui va au-delà de celle de perdre sa santé et/ou de mourir «jeune» - avant l'âge moyen considéré comme «normal» -, ou encore de faire du mal à son entourage. Elle utilise le travail, c'est-à-dire le droit de vivre dignement, comme une arme de moralisation sociale.
Cette décision n'est pas recevable pour les enseignants et les chercheurs en sciences humaines qui, depuis plus de quarante ans, ont démontré et dénoncé les effets destructeurs et pervers de la stigmatisation des êtres humains considérés comme «anormaux» pour des raisons physiques (maladies génétiques ou non, accidents de naissance ou de la vie), mentales (handicapés mentaux) ou de comportements «asociaux» (hors normes).
Un des précurseurs, le sociologue américain Erving Goffman, distinguait dans les années 60 «en gros» trois types de stigmates. Les premiers étaient «les monstruosités du corps ou difformités diverses». Les seconds étaient les «tares du caractère qui, aux yeux d'autrui, prennent l'aspect d'un manque de volonté, de passions irrépressibles ou antinaturelles, de croyances égarées et rigides, de malhonnêteté et dont on infère l'existence chez un individu parce que l'on sait qu'il est ou a été, par exemple, mentalement dérangé, emprisonné, drogué, alcoolique, homosexuel, chômeur, suicidaire ou d'extrême gauche». Les troisièmes étaient «ces stigmates tribaux que sont la race, la nationalité et la religion, qui peuvent se transmettre de génération en génération et contaminer également tous les membres d'une même famille». Il ajoutait: «Il va de soi que, par définition, nous pensons qu'une personne ayant un stigmate n'est pas tout à fait humaine. Partant de ce postulat, nous pratiquons toutes sortes de discriminations, par lesquelles nous réduisons efficacement, même si c'est souvent inconsciemment, les chances de cette personne. Afin d'expliquer son infériorité et de justifier qu'elle représente un danger, nous bâtissons une théorie, une idéologie du stigmate, qui sert aussi parfois à rationaliser une animosité fondée sur d'autres différences, de classe par exemple.» Il suffit donc qu'un individu ait un défaut par rapport aux normes sociales ambiantes pour qu'il soit considéré comme un bon à rien, comme inutilisable socialement et infréquentable sans risquer d'être stigmatisé à son tour...
Ce que décrit Goffman avec un vocabulaire devenu politiquement incorrect est très exactement ce que fait l'OMS aujourd'hui: stigmatiser et discriminer une nouvelle catégorie d'individus, les fumeurs. En vingt ans, la croisade anti-tabac s'est transformée en croisade anti-fumeurs. D'où vient cet acharnement de l'OMS contre les fumeurs? Pourquoi ceux-là? Fumer est un luxe inutile, improductif et malsain, donc déraisonnable et irrationnel. La stigmatisation des fumeurs se fait en trois temps. Premier temps: le tabac est mauvais pour la santé de ceux qui en consomment: les fumeurs sont dangereux pour eux-mêmes. Ils sont considérés comme des malades, souffrant d'une dépendance. Jusqu'en 1983, dans le manuel de référence américain concernant les troubles mentaux qui sert de modèle à l'OMS (DSM III), la consommation de tabac est classée dans les «dépendances sans handicap professionnel». En 1989, dans le même manuel révisé (DSM III R), cette phrase a disparu au profit d'autres critères comportementaux, comme continuer à prendre une substance que l'on sait dangereuse, désirer cette substance et faire des efforts infructueux pour réduire ou contrôler son utilisation, passer du temps pour se la procurer et/ou pour la consommer, etc. Deuxième temps: les fumeurs sont dangereux pour les non-fumeurs (fumée passive) et l'on interdit graduellement la fumée dans les lieux publics. En 1996, la dernière version de ce manuel (DSM IV) suggère que les fumeurs pourraient «renoncer à d'importantes activités sociales, professionnelles ou de loisirs parce qu'elles ont lieu dans une zone où il est interdit de fumer». Troisième temps: 2005, on élimine les fumeurs, même s'ils respectent les interdictions, par l'instauration d'une discrimination à l'embauche. En leur reprochant non pas de leur incompétence ou leur inefficacité (ce qui n'a pas été démontré) mais le temps qu'ils perdraient à fumer. Un dernier argument, instaure le délit de «sale odeur». Il rappelle celui de «sale gueule» et menace ainsi les mangeurs d'ail, les pétomanes, les parfumés, les mal lavés, les victimes de sueurs incontrôlables et tous ceux qui n'ont pas la même couleur de peau...
Et s'il ne s'agissait pas d'un dérapage mais d'une politique délibérée? Le raisonnement qui s'applique aux fumeurs - «Celui qui fume n'a qu'à arrêter ou à se soigner» -pourrait bien s'appliquer à d'autres. L'idée est de leur proposer de passer de substances mises à l'index par l'OMS, mais en vente légale, à d'autres substances sous contrôle médical, produites par l'industrie pharmaceutique (patchs, chewing-gums, tranquillisants, antidépresseurs, somnifères, coupe-faims...). Tout comme la suite du même raisonnement: «Si le fumeur persiste malgré nos avertissements et tombe malade, c'est de sa faute, il n'a qu'à payer». Ce raisonnement pourrait bien lui aussi s'appliquer à d'autres, ouvrant la porte à la segmentation générale des primes d'assurance maladie. A chaque «risque», sa prime supplémentaire. Qui d'entre nous ne présente pas un ou deux «risques», ne serait-ce que dans ses gènes devenus transparents? En résumé, on commence par les fumeurs, puis on s'en prendra aux obèses (et c'est déjà commencé), aux victimes du cholestérol, aux diabétiques, aux hypertendus, aux alcooliques, aux buveurs de café, de thé, aux mangeurs de fondue et de chocolat... La liste est infinie.
Eliane Perrin
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| Regarding WHO which doesn't hire smokers since 2005: A remarkable and still relevant article published on the Website of the MD Association of the Geneva canton |  | Published online : tuesday 6 mai 2008
Second origin : Association des Médecins du canton de Genève
Link : http://www.amge.ch/index.php?option=com_content&task=view&id=992&Itemid=96
First origin : Le Temps
Author : Eliane Perrin
First published : Wednesday 14 decembre 2005
To go directly to the website, click the above image
SPARTACLOP's comment : a feature article which shows well the pernicious and dangerous move of the WHO (World Health Organization) approach of tobacco and smokers, and the process which lead to their stigmatization and the discrimination against them. I wished to share this important point of view with non-french speakers. So I tried to make the best translation I could. Despite its numerous mistakes, I think the most important is understandable and there is no misinterpretation. For those who know a little bit French and who would like to compare it with the original version, they can refer to the original text published opposite left.
Since December 1 [2005], the World Health Organisation hires no more smokers. Those who lie incur disciplinary sanctions. Is this really the role of the WHO to impose a police order in this area?
The decision of the Organisation is surprising for all those - like medicine and hospital staff - who believed that the primary mission of the WHO was to fight against diseases world-wide (smallpox, malaria, tuberculosis, AIDS, avian influenza) and to promote health. But now WHO doesn't only fight against diseases but also against sick people ! It doesn't promote health but wants to impose it in companies, its own first "to lead by example"?. Is this really a good example? Or a serious slippage?
This decision is difficult to understand for caregivers and social workers as for the associations of disabled and sick people who have been fighting for years against discrimination in hiring and, more broadly, for organisations fighting against stigma, exclusion and racism. For years, these professionals and these associations have fought to change the diagnosis of disabled and sick - so far based on what they could not or no more do (their disabilities) - on the basis of everything they may do despite a disability or illness (their capabilities). They claimed the hiring should be based on the strict consideration of individual skills. In Switzerland, discussions about revising the law on disability were oriented in this direction. But with this decision, WHO clearly means that it is no longer enough to have capabilities and expertise to be hired. It indicates that the work should no longer be considered as a means of integration or reintegration into society but rather as an instrument of punishment or social reward. Its prevention policy continues to rely on a fear policy, which goes beyond the fear of losing health and / or die "young"-that is before the average age considered "normal" --or even do harm to his entourage. It uses the work, i.e. the right to live in dignity ,as a weapon of social morality.
This decision is not admissible for teachers and researchers in humanities and social sciences who, for over forty years, have demonstrated and denounced the destructive and pernicious effects of stigma on human beings regarded as "abnormal" for physical reasons (genetic or non genetic diseases, accidents of birth or accidents of life), mental reasons (mentally handicapped) or "antisocial" behaviour (non conventional).
In the 1960's a precursor, the American sociologist Erving Goffman, distinguished roughly three types of stigma. The first were "the monstrosities of the body or various deformities." The second ones were "defects of character which, in the eyes of others, take the appearance of a lack of will, or anti-natural or irrepressible passions, rigid or lost beliefs, dishonesty of which one infers the existence in a individual because we know he is or was, for example, mentally disturbed, imprisoned, drugged, alcoholic, homosexual, unemployed, suicidal or an extreme left activist. " The third were "the tribal scars that are race, nationality and religion, which can be transmitted from generation to generation and contaminate all the members of a same family." He added: "It goes without saying that, by definition, we believe that a person with a stigma is not completely human. Based on this assumption, we practice all kinds of discrimination, by which we reduce effectively, although it is often unconsciously, the chances of that person. To explain his/her inferiority and to justify he/she represents a danger, we build a theory, an ideology of the stigma, that we also use sometimes to rationalise an animosity based on other differences, of class for example. "Therefore if an individual has a defect in relation to common social norms it is just enough to regard him/her as a "good for nothing", as socially useless and wanting not to be associated with him/her, which provides oneself from being stigmatised at one's turn".
What Goffman described with a vocabulary which is now politically incorrect is exactly what does WHO today: stigmatise and discriminate a new category of individuals, smokers. In twenty years, the anti-tobacco crusade has turned into an anti-smokers crusade. Why smokers are they hounded by WHO? Why them? Smoking is an unnecessary, unproductive and unhealthy luxury, it is unreasonable and irrational. The stigma of smokers has been elaborated in three steps. First: tobacco is bad for the health of those who consume it: smokers are dangerous to themselves. They are considered as sick, suffering from an addiction. Until 1983, in a reference manual on American mental disorders who serves as a model to WHO (DSM III), tobacco consumption was classified as "addiction without professional handicap." In 1989, in the same revised manual (DSM III R), this sentence has disappeared in favour of other behavioural criteria, such as continuing to take a substance that is known dangerous, desiring this substance and making unsuccessful efforts to reduce or control its use, spending time to obtain and / or to consume it, etc.. Second step: smokers are dangerous for non-smokers (passive smoking) and gradually smoking in public places is banned. In 1996, the latest version of the manual (DSM IV) suggests that smokers may "give up important social, professional or recreational activities because they occur in an area where smoking is prohibited". Third step: 2005, elimination of the smokers, even if they comply with the bans, by establishing a hiring discrimination. By not blaming their incompetence or inefficiency (which has not been proved) but the time they lose while smoking. A final argument establishes the offence of "dirty smell." It recalls the "dirty mouth" and threatens the garlic eaters, perfumed, poorly washed, victims of uncontrollable sweating and all those who do not have the same colour of skin ...
And if all this was not a slip but a deliberate policy? The reasoning applying to smokers - "//Anyone who smokes has to stop or to get cured::" - could well apply to others. The idea is to offer them to replace substances blacklisted by WHO, although lawfully sold, by other substances under medical supervision, produced by the pharmaceutical industry (patches, chewing gums, tranquillisers, antidepressants, sleeping pills, appetite suppressants...). Following the same reasoning: "//If the smoker persists despite our warnings and falls ill, it is his fault, and he just has to pay.//" This reasoning could also apply to others, opening the door to the general segmentation of health insurance premiums. For each "risk", its corresponding additional premium. Who among can be prevented from one or two "risks", if only in its genes which are now transparent? In fact, it starts with smokers, then continues with the obese (it has already started), the victims of cholesterol, diabetes, hypertension, alcoholics, coffee or tea drinkers, chocolate eaters and ... The list is endless.
Eliane Perrin |
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| Le tabac et l'alcool ne sont pas responsables de l'augmentation d'incidence des cancers |  | FOCUS SUR LE SITE DE L'ARTAC
(Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse)
www.artac.info
Pour accéder directement au site, cliquer sur l'image ou le lien ci-dessus (tous les textes en italique sont tirés du site de l'ARTAC et les passages en gras sont le fait de Spartaclop)
* * * * *
L'ARTAC, association fondée par le Professeur Dominique Belpomme, cancérologue, est l'un des premiers organismes français de recherche contre le cancer internationalement connu pour ses travaux scientifiques sur les causes environnementales de la maladie.
Que dit l'ARTAC ?
Le tabac et l'alcool ne sont pas responsables de l'augmentation d'incidence des cancers
L'ARTAC, tout en reconnaissant la responsabilité de l'alcool et du tabac dans la formation des cancers et d'autres maladies, démontre, preuves scientifiques à l'appui, que les principales causes sont à rechercher dans l'environnement et que : "Il n'est pas possible d'incriminer le tabagisme ni l'alcoolisme à l'origine de cette augmentation d'incidence [de cancers, ndlr], puisque ces deux facteurs sont en régression depuis ces trente dernières années dans notre pays et parce que les cancers que ces deux facteurs induisent, lorsqu'ils sont associés l'un à l'autre - les cancers ORL et de l'œsophage - ont une incidence et une mortalité (voir la figure suivante) qui diminuent.
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| | Evolution de la mortalité pour les trois types de cancers objets de prévention en France (source ARTAC): |  |
| L'incidence croissante des cancers concerne des cancers non liés ou seulement partiellement au mode de vie
L'augmentation d'incidence concerne des cancers non liés ou seulement partiellement liés au mode de vie. Tel est le cas des leucémies, des lymphomes, des tumeurs cérébrales et plus particulièrement des cancers observés chez l'enfant, et des cancers du testicule (voir le tableau et les figures suivantes) etc. dont on a pu prouver avec certitude qu'ils (n')étaient liés à aucun des principaux facteurs classiques relevant du mode de vie.
Tel est, en outre, le cas des cancers du rein et de la vessie, certes en partie liés au tabagisme, mais dont il a été prouvé que d'autres facteurs d'origine chimique intervenaient. Dans une certaine mesure, tel est aussi le cas des cancers du sein chez la femme, qui ont doublé en nombre depuis ces 20 dernières années, et des cancers de la prostate, qui ont triplé (...). Pour les cancers du sein, comme le montre une étude américaine, leur origine n'est expliquée que dans un cas sur deux par la possibilité de facteurs liés au mode de vie (âge plus tardif de la première grossesse, baisse de la natalité, prise de pilule ou de traitements substitutifs à la ménopause etc.) et dans moins d'un cas sur trois pour les cancers de la prostate
Par ailleurs, l'ARTAC affirme que l'amélioration des techniques de dépistage ne peut pas être seule en cause pour expliquer l'augmentation d'incidence des deux types de cancers précédents et que le vieillissement n'est pas en cause, mais la durée d'exposition aux facteurs de risque.
En résumé, l'ARTAC établit que la pollution est la cause commune de nombreuses autres maladies.
SPARTACLOP ne cesse de répéter, avec tous les gens qui ont un peu de bon sens, qu'on ne saurait imputer à l'alcool et au tabac les principales causes de maladies. Et qu'il est urgent de s'atteler à l'immense chantier du développement de celles directement imputables aux pollutions d'origine chimique et industrielle. Dans un contexte de réduction notable de la consommation d'alcool et de tabac (divisée par 2 depuis les années 1960), comment expliquer l'augmentation des cancers et d'autres maladies, si ce n'est par la dégradation de notre environnement ?
Il ne s'agit pas de faire la promotion ou la propagande du tabac ou de l'alcool, mais seulement de laisser un peu de côté l'acharnement dont ils font l'objet, acharnement (volontaire ?) qui empêche de s'intéresser aux causes majeures du développement de certaines maladies et de la responsabilité des grandes industries dans leur accroissement.
Tous ceux qui ne se contentent pas d'avaler sans réfléchir la propagande anti-tabac, outrageusement médiatisée, des brigades anti-fumeurs, et qui sont préoccupés par les ravages écologiques, environnementaux et sanitaires causés par l'industrie, trouveront des articles scientifiques et des enquêtes solides sur le site de l'ARTAC. Nous invitons toutes celles et ceux qui ne se satisfont pas d'explications simplistes à s'y reporter.
Enfin l'ARTAC, dans l'Appel de Paris (2004), qui a recueilli l'adhésion et l'appui de personnalités éminentes telles que les deux Prix Nobel de Médecine français, les Prs François Jacob et Jean Dausset, de nombreux membres des Académies des Sciences et de Médecine parmi lesquels les Prs Jean Bernard, Yves Coppens, François Gros, Lucien Israel, Luc Montagnier, des personnalités médiatiques, humanistes comme Nicolas Hulot, Albert Jacquard, Boutros Boutros-Ghali (ancien secrétaire général de l'ONU), auquel plusieurs centaines de scientifiques internationaux, près de 1000 ONG et plus de 150.000 citoyens ont apporté leur signature, souhaite lancer une alerte au niveau mondial sur l'urgence de la prise en compte des dangers sanitaires de la pollution chimique et déclare en substance :
Article 1
Le développement de nombreuses maladies actuelles est consécutif à la dégradation de l'environnement .
Article 2
La pollution chimique constitue une menace grave pour l'enfant et pour la survie de l'Homme.
Article 3
Notre santé, celle de nos enfants et celle des générations futures étant en péril, c'est l'espèce humaine qui est elle-même en danger.
Pour télécharger le texte complet de l'Appel de Paris, cliquer sur le bouton ci-dessous
SPARTACLOP
Jeudi 1er mai 2008
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| Tobacco and alcohol are not responsible for the increased incidence of cancers |  | FOCUS ON the ARTAC Association
(Association for Research and Treatments Against Cancer)
www.artac.info
Free translation of the above article made by Spartaclop, who apologizes for the mistakes !
(The text written in italic is directly taken from the ARTAC website. The parts in bold come from Spartaclop).
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ARTAC, is a non profit organization (Official Journal of the French Republic, April 25th 1984, NC3791) with international humanitarian and scientific goals. ARTAC was founded by Dominique Belpomme MD, full professor in medical oncology at the Paris University, at the initiative of a group of patients and their families. ARTAC is one of the first cancer research organization that is internationally known for its scientific works regarding the environmental causes of cancer.
What does ARTAC say ?
Tobacco and alcohol are not responsible for the increased incidence of cancers
ARTAC, while recognizing the responsibility of alcohol and tobacco in certain cancers and other diseases, shows scientific evidence that the main causes are to be found in the environment and that : "You cannot criminalize smoking habits and alcoholism in the growth of cancers because these two factors are in decline since the last thirty years in our country and because the cancers that these two factors induce, when combined with each other - Otolaryngology and esophagus cancers - have an impact and mortality that decrease.
The increasing incidence of cancer are not related or only partially related to lifestyle
Such is the case of leukemia, lymphoma, brain tumors and more particularly cancers observed with children, and testicular cancer, which has been proved with certainty to have no relation with the main factors of traditional lifestyle.
Furthermore, this is the case of cancers of the kidney and the bladder, certainly partly related to smoking, but it was proved that other factors such as a chemical origin played a part. To some extent, this is also the case of breast cancers with women, which have doubled in number over the last 20 years, and prostate cancers, which have tripled (...). For breast cancer, as evidenced by an American study, their origin is explained in only one case out two by the possibility of factors related to lifestyle (later age of first pregnancy, low birth rates, pill or alternative treatments for menopause.) and in less than one out of three for prostate cancer.
In addition, ARTAC states that improving screening techniques cannot be the only explanation for the rising incidence of the two types of cancers previously mentionned and that ageing is not involved, but the duration of exposure to risk factors .
To sum up, ARTAC establishes that pollution is the common cause many other diseases .
SPARTACLOP keeps repeating, with all the people who have some common sense, that one cannot attribute to alcohol and tobacco the main causes of diseases. And that it is urgent to start a wide research on those directly attributable to chemical and industrial pollution. In a context of significant reduction in consumption of alcohol and tobacco (divided by 2 since 1960), how to explain the increase in cancers and other diseases, if not by the degradation of our environment?
All those who do not swallow without thinking the anti-smoking propaganda, outrageously publicized, of the anti-smoking brigades, and who are concerned about the ecological, environmental and health devastation caused by industry, will find solid scientific articles and investigations on the ARTAC website We invite all those who are not satisfied by simplistic explanations to refer to it.
Finally, ARTAC, in the Appeal of Paris (2004), which collected membership and support of eminent personalities such as the two Nobel Prize in Medicine, french Prs François Jacob and Jean Dausset, many Members of Academies of Sciences and Medicine including Prs Jean Bernard, Yves Coppens, Francois Gros, Lucien Israel, Luc Montagnier, media personalities, humanistic as Nicolas Hulot, Albert Jacquard, Boutros Boutros-Ghali (former Secretary General of the UN) , joined by hundreds of international scientists, about 1000 NGOs and more than 150,000 citizens have given their signature wishes to launch a global alert on the urgency of taking into account the health dangers of chemical pollution, and déclares :
THE PARIS APPEAL :
Scientists and researchers at the international colloquium in May the 7th, 2004, at UNESCO in Paris on "Cancer environment and society" organised by French cancer research organisation ARTAC gave their support to the Paris Appeal.
This "Paris Appeal" is to call national decision-makers, European Authorities, international organisations, and specifically the United Nations Organisation to:
- ban all products which are recognised as dangerous for human beings by the scientific's authorities;
- apply the precautionary principle to chemicals which constitute a danger for health;
- adopt programs with requirements and deadlines to achieve the elimination/regulation of the polluting substances emissions to strengthened the EU 2001 REACH.
This Paris appeal as been already signed by numerous international scientists, Nobel Prize winners, around 1.000 NGO's, more than 150.000 citizens. It is also signed by 2 million European doctors representing by the Standing Committee of European Doctors (CPME).
The Paris Appeal declares :
Article 1 :
The development of numerous current diseases is a result of the deterioration of the environment.
Article 2 :
Chemical pollution represents a serious threat to children and to Man's survival.
Article 3 :
As our own health, that of our children and future generations, is under threat, the Human race itself is in serious danger.
To know more about ARTAC and download the information, click the button :
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| LE SENS DE LA LIBERTE EST ALLEMAND |
A la fin du flash info d'ARTE-TV (voir ci-dessous), nous apprenons que les politiciens allemands sont moins obtus que les nôtres. Honte à ceux qui ont oublié les mots inscrits aux frontons de nos monuments : Liberté, égalité, fraternité. Honte à ceux qui ont oublié que les droits des uns ne doivent pas s'exercer au détriment des droits des autres. Par leurs protestations, fumeurs et patrons d'établissements allemands sont en passe d'avoir gain de cause, de garder leurs emplois, de préserver leur liberté de fumer dans des espaces bien à eux. C'est ça la liberté. Tout simplement. Les Français, diseurs mais pas faiseurs, devraient se secouer les puces. C'est par la protestation qu'on obtient quelque chose. Arrêtons de râler, arrêtons de nous "adapter", arrêtons de ruser avec loi. Faisons en sorte de la changer, comme nos amis allemands.
SPARTACLOP
Dimanche 27 avril 2008
DESOLEE : le flash info d'ARTE n'est plus disponible. Il montrait (merci à Danielle Charest, dont je reprends l'info) :
1) la victoire de trois landers : ils ont obtenu que les petits établissements puissent redevenir fumeurs à condition que le propriétaire soit le seul à travailler dans son lieu
2) une manif récente à Berlin au cours de laquelle 500 personnes, des propriétaires d'établissements ET des fumeurs, exigent que la décision des trois landers s'applique partout en Allemagne
3) une courte entrevue avec un propriétaire de bar berlinois qui exige que tous les établissements puissent choisir s'ils seront fumeurs ou non et qui a porté plainte auprès du tribunal constitutionnel.
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| INTERVIEW DE SPARTACLOP SUR ALIGRE FM (93.1) | La rédactrice de SPARTACLOP a été reçue jeudi 24 avril 2008 dans l'émission de Geneviève Moll Coup de main, coup de pouce de 9h30 à 10h00, afin de présenter le site.
Pour ceux qui souhaitent entendre la voix de SPARTACLOP et comprendre ce qui a motivé la création du site et quel est son contenu, vous pouvez entendre l'enregistrement de l'émission ci-dessous (il s'agit moins ici de faire mon auto-promotion que de mieux faire connaître SPARTACLOP à tous ses fidèles lecteurs).
Je tiens à remercier chaleureusement Geneviève Moll et Aligre FM d'avoir permis d'exposer la position et les arguments des résistants au décret anti-tabac. C'est une démarche rare dans le PAF. Très peu de media et de journalistes en effet relaient les voix dissidentes sur cette question, qui est quasiment devenue taboue. Peu habituée à m'exprimer en public, et dans ma hâte à donner des tas d'informations, j'ai parfois eu tendance à prendre des chemins de traverse. Et il a fallu tout le talent de cette grande professionnelle pour me ramener à la route principale. J'espère qu'elle pardonnera les digressions et les débordements de mon discours touffu, dus à mon enthousiasme de pouvoir parler ainsi qu'à mon inexpérience des ondes. J'espère que l'essentiel en tout cas a été dit. MERCI infiniment pour ce coup de main et ce coup de pouce.
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| Pour entendre l'interview, vous devez télécharger REAL PLAYER en suivant le lien ci-après :
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| | FUMEURS ET FUMEUSES DE FRANCE : CA VOUS PLAIT, A VOUS, DE RESSEMBLER A CA ? MOI, NON. JE TROUVE CA INDIGNE |  |
FUMEURS, AVEZ-VOUS ENVIE DE PORTER SUR VOS SEULES EPAULES TOUS LES MAUX DE LA PLANETE ?
- Parce que nombre d'entre nous ne supportent toujours pas d'être exclus des bars, de fumer sous la pluie
- Parce que nombre d'entre nous ne peuvent plus écouter un concert tranquillement sans devoir sortir toutes les 5 minutes pour faire leur pause clope
- Parce que les anti-fumeurs et l'Union européenne veulent interdire les terrasses chauffées et bannir les fumeurs des terrasses tout court
- Parce que nous sommes jetés dehors et qu'on nous accuse dorénavant de nuisances sonores et que certains ont commencé à porter plainte
- Parce que, pour cette même raison, des bars sont menacés de fermeture administrative
- Parce que nous jetons nos mégots par terre car il n'y a plus de cendriers et qu'on nous accuse dorénavant de polluer la planète
- Parce que les nuisances du tabagisme se déroulent à 90% dans les espaces domestiques et non dans les bars
- Parce que le tabagisme passif a été inventé pour imputer le développement de maladies aux fumeurs et masquer la responsabilité des vrais coupables : les industries polluantes
- Parce que nous ne voulons pas que meurent ces derniers lieux de vie que sont nos troquets, espaces d'échanges, de croisements, de culture, de rires, d'excès, de détente, de loisir
- Parce que le monde devient triste et que les anti-bruit, les anti-fumeurs, les anti-joie et les vieilles barbes, les anti-tout veulent nous imposer leur mode de vie
- Parce que se taire, ne rien faire c'est les laisser grignoter encore plus nos derniers espaces de liberté
NOUS DEVONS NOUS UNIR, NOUS REUNIR. Fumeurs et patrons de commerce qui souhaitent avoir la LIBERTE DE CHOIX
L'ANCHRE (Association Nationale des Cafetiers, Hôteliers, Restaurateurs Engagés) a fait en sorte que les fumeurs puissent les rejoindre, afin de peser, ENSEMBLE. ENSEMBLE, nous ferons le poids. Mais pour peser, il faut aussi des sous. Adhérer à l'ANCHRE à titre individuel, en tant que fumeur, (15 euros pour l'année), c'est nous donner les moyens d'entamer des actions concrètes et avec plus d'ampleur. N'oublions pas que nos ennemis bénéficient de subventions publiques (donc aussi les sous des fumeurs) qui leur permettent de nous faire la guerre. L'animatrice de Spartaclop a personnellement adhéré à l'ANCHRE. Si chaque résistant se fait fort d'amener 10 adhérents, nous nous donnerons les moyens de constituer une force et d'infléchir une loi inique.
UN PETIT ACTE DE RESISTANCE CONCRET
J'invite donc chacun d'entre vous à adhérer à l'ANCHRE et à faire adhérer 10 proches. Pour cela, contactez Jacques Martinat (Président de l'ANCHRE), ou adressez-lui directement votre cotisation :
Auberge de La Bohême
Le Bourg
03190 Maillet
04-70-06-75-07
mail : aubergedelaboheme@wanadoo.fr
APPEL DE SPARTACLOP A SE MANIFESTER, INDIVIDUELLEMENT ET COLLECTIVEMENT, DANS L'INTERET DE TOUS
C'est en résistant à titre individuel que l'on obtient quelque chose. Pas en supportant lâchement que les autres obtiennent gain de cause pour vous. Pas en s'adaptant mollement. Les fumeurs ont l'air ridicule et pathétiques à fumer dehors en grelottant. Je n'ai pour ma part pas envie de faire pitié. Protester, c'est revendiquer son espace de liberté. Et que pèsent 15 euros lorsqu'il s'agit de préserver cet espace vital, sa dignité et le simple droit de vivre comme on l'entend ? Adhérez à l'ANCHRE. C'est un premier pas dans la défense de vos droits à ne pas être traités comme un animal qu'on jette dehors à coups de bottes ou de loi. Nous ne sommes pas des bêtes, mais des êtres humains qui fumons. Ni plus ni moins. Et ce n'est pas bien grave au regard de tant de maux, de fléaux et de catastrophes qu'on nous prépare. Alors laissez-nous fumer en paix. Entre nous.
SPARTACLOP
Samedi 19 avril 2008, 15:36 |
| ::Dénonciation de la loi du silence sur l'uranium appauvri et des liens de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) avec l'AIEA (Agence Internationale de l'Energie Atomique)l' | Mise en ligne : vendredi 18 avril 2008, 12:42
Un article de Robert James Parson publié dans le Monde Diplomatique en février 2001
Extraits :
Depuis que les munitions à l'uranium appauvri (UA) ont été testées par les Etats-Unis contre l'Irak, décès et maladies inexpliquées se multiplient chez les combattants ayant servi dans le Golfe, mais aussi en Bosnie et au Kosovo. A des degrés divers, les agences des Nations unies ont imposé une chape de silence sur la dangerosité radiologique et chimique de cette arme. N'a-t-il pas fallu attendre janvier 2001 pour que l'Organisation mondiale de la santé « envisage » d'enquêter sur les effets de l'UA sur les populations du Golfe ?
En fait, un accord passé avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) en 1959 interdit à l'OMS de traiter des questions de radiation et de santé publique sans l'aval de celle-ci. Aval qui n'est pratiquement jamais donné.
Article complet à consulter dans notre rubrique Autres fléaux, entrée NUCLEAIRE |
| | UN LIVRE A DECOUVRIR OU A RELIRE : Les Inventeurs de maladies. Manoeuvres et manipulations de l'industrie pharmaceutique | Mise en ligne : jeudi 17 avril 2008, 14:50
Présentation du livre de Jörg Blech : Les Inventeurs de maladies. Manoeuvres et manipulations de l'industrie pharmaceutique (Ed. Actes Sud, 282 p., 20 €. Postface du Dr Martin Winckler) par Henriette Sarraseca :
(MFI) Ayant dépassé l'ère des grandes épidémies, les populations des pays riches se débattent entre " maladies créées par l'homme ", selon l'expression du cancérologue Dominique Belpomme, et maladies " inventées " par les laboratoires pharmaceutiques pour s'assurer encore plus de profits… Un journaliste allemand, dans un livre bourré de faits et de chiffres, présente un lourd dossier à charge. (...)
A lire dans notre rubrique Autres fléaux, entrée LOBBIES PHARMACEUTIQUES |  |
| DANIELLE CHAREST PARLE DE SON LIVRE "Haro sur les fumeurs. Jusqu'où ira la prohibition ?" | Mise en ligne : dimanche 13 avril 2008
Danielle Charest explique les motifs qui l'ont poussée à écrire cette enquête, dénonce les dangers de la logique jusqu'au boutiste du "sanitairement" correct et dit pourquoi il est urgent de s'opposer à l'interdiction de fumer dans les lieux de convivialité, première étape de toute une série d'interdits qui est d'ores-et-déjà en marche. Pour en savoir plus, voir la présentation de son ouvrage dans notre rubrique Livres
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| DES PATRONS DE BARS CONTRAINTS DE VENDRE LEUR COMMERCE SUITE A L'INTERDICTION DE FUMER | Mise en ligne : samedi 12 avril 2008, 09:22
Pour accéder directement au journal de TF1, cliquer sur l'image ci-dessous :
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| L'INTERDICTION DE FUMER POUSSE UN PATRON DE BAR AU SUICIDE | Mise en ligne : jeudi 10 avril 2008, 09:07
Source Snde : Asiaone.News
Lien : http://www.asiaone.com/News/AsiaOne%2BNews/World/Story/A1Story20080408-58765.html
Source 1ère : AFP
Date de parution : 08/04/08
Info transmise par www.raucherbewegung.eu
Traduction libre de l'anglais effectuée par SPARTACLOP :
BERLIN. Un patron de bar allemand qui s'est pendu chez lui a laissé un mot expliquant les raisons de son suicide par la récente interdiction de fumer, a rapporté le journal BILD de Mardi.
Uli Stegmaier, 60 ans, a vu le chiffre d'affaires de son bar, situé dans la ville de Balingen, au sud de l'Allemagne, chuter de 20 % suite à l'entrée en vigueur de l'interdiction de fumer dans l'Etat de Bade-Wurttemberg en août 2007, rapporte le journal.
Son beau-frère, Helmut Rathmann, a déclaré à BILD : "Le mot qu'il a laissé parlait exclusivement de son amerture au sujet de l'interdiction. Il n'était pas adressé à sa famille, mais aux politiciens".
Mr. Stegmaier, propriétaire du Baeren Bar depuis 30 ans, s'est pendu dans le grenier de sa ferme. Il laisse une femme et cinq enfants.
Ses amis et sa famille disent qu'il avait fait campagne contre l'interdiction par crainte de devoir fermer son bar. Dans un mot récent publié sur Internet, il écrivait : "L'Etat a bafoué les droits des patrons de bar et mis en péril les moyens d'existence de nombre d'entre eux".
Mr Rathmann a signalé que Mr. Stegmaier avait donné de l'argent à des opposants qui voulaient intenter un procès au gouvernement régional afin de revenir sur l'interdiction.
L'Allemagne a mis en place l'interdiction de fumer dans les bars et restaurants dans une majorité d'états du pays il y a quelques mois. Dans la plupart d'entre eux, la mesure est en vigueur depuis le 1er janvier. -- AFP
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| | MANIFESTATION DES PATRONS D'ETABLISSEMENTS OPPOSES AU DECRET ANTI-TABAC A ROUEN, LE 2 AVRIL | Mise en ligne : samedi 12 avril 2008, 13:01
Source : journal FRANCE 3 NORMANDIE
Les patrons de bars, brasseries et d'établissements de nuit ont manifesté le 2 avril contre la loi anti-tabac.
Les professionnels rouennais de la restauration sont inquiets. Depuis l'application de la loi anti-tabac dans les bars, restaurants, boite de nuit... Certains d'entre eux estiment que leur chiffre d'affaires a chuté de 50, voire 60%. (...). Pierre-Olivier CASABIANCA, France 3 Normandie.
Pour accéder directement au journal, cliquer sur l'image ci-dessous :
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| "ENSEMBLE" : naissance de l'ANCHRE (Association Nationale des Cafés Hôtels Restaurants Engagés) | Compte-rendu de la réunion de l'ANCHRE :
Petit historique de la naissance de l'ANCHRE
Cette association et née de la rencontre de quatre Auvergnats qui sont déterminés a faire reculer ce décret afin de pouvoir sauver leurs commerces et les lieux de convivialité.
"Nous sommes déterminés et nous nous battrons jusqu'au bout avec les professionnels et les particuliers qui désirent nous rejoindre."Vous pouvez nous joindre aux numéros indiqués ci dessous.
La première réunion de l'ANCHRE (Association Nationale des Cafetiers, Hôteliers, Restaurateurs Engagés) a eu lieu à Coudes (63) près de Clermont-Ferrand, le vendredi 7 mars 2008.
Voici la constitution du bureau :
Président :
M. Jacques Martinat
" Auberge de la Bohême " (03)
04 70 06 75 07 ou 06 76 56 80 51
Vice-Président :
M.Serge Pitelet
" Bistro 4/6 "
Clermont Ferrand (63)
04 73 25 26 20 ou 06 81 30 19 46
Secrétaire et Trésorier :
M.Frédéric Boyer
Café " L'Apothicaire "
Clermont Ferrand (63)
04 73 25 46 51 ou 06 11 97 71 32
Porte-Parole :
M.Hervé Ferreira
" Hôtel de la Poste "
Coudes (63)
04 73 96 61 05 ou 06 50 93 88 75
L'équipe est soudée, combative et déterminée à tout mettre en œuvre pour sauver leurs commerces condamnés à terme par le décret anti-tabac.
De nombreux témoignages dans l'assistance ont montré l'angoisse et le désespoir dans lequel les patrons de bar, hôtels, restaurants, discothèques, se trouvent plonger.
Tous parlent d'une baisse du chiffre d'affaires de 20% à 30% et s'accordent à dire qu'à ce rythme ils ne tiendront pas jusqu'à la fin de l'année.
Cette association se veut complètement en marge des clivages politiques, de manière à ne jamais interférer avec ces derniers.
Ils ont pour objectif de réunir le maximum de professionnels des hôtels, cafés, restaurants, discothèques et bars-tabac pour revendiquer les mêmes droits que l'UMIH dans son fonctionnement, entre autre :
1) l'abattement sur les droits Sacem
2) avoir suffisamment de poids pour s'asseoir à la table des négociations avec le gouvernement.
L'ANCHRE en a assez de l'image de " patrons voyous " qui leur est attribuée. Ce sont des personnes responsables et avant tout des chefs d'entreprises.
[Plusieurs actions ont été décidées. Si vous voulez les connaître, contacter Jacques Martinat ou Hervé (voir ci-dessus)]
L'ANCHRE se veut aussi porteuse de revendications précises concernant la TVA à 5,5% , les 35 heures, le droit à l'image, la redevance TV, la taxe sur les terrasses, etc…
Le bureau et les membres de l'ANCHRE sont bien conscients que, isolé dans son établissement ou dans sa région, personne n'a suffisamment de poids pour que les revendications soient prises en compte.
Réunir toutes les énergies, toutes les personnes qui ne veulent pas attendre, sans rien faire, de voir leur établissement fermé. [Plusieurs grandes organisations ont décidé de se joindre à l'ANCHRE, depuis cette première réunion - note de Spartaclop]
Des réunions devront ce dérouler dans chaque région pour les adhérents. Vous pouvez déjà contacter :
Maryline et Bernard sur Trouville 02 31 88 84 61
Valerie sur Albi : 05 63 47 01 71
Nous avons aussi pris la décision de faire adhérer les particuliers et nos clients a ces combats.
Pour adhérer a l'association, Contacter l'une des personnes citée plus haut.
l'ANCHRE
[Nota de SPARTACLOP : depuis, des représentants de l'ANCHRE sont montés à Paris pour fédérer les résistants parisiens et d'Ile de France]
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L'"acte de naissance" est par ailleurs téléchargeable dans notre page Médiatisons nos actions. Imprimez-le et distribuez-le aux patrons de bars qui souhaitent s'opposer au décret et rejoindre cette association. L'union fait la force !
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| Le Parisien, Edition de Seine-Saint-Denis du vendredi 28 mars : Résistance ! |  |
| COURRIER INTERNATIONAL (n° 908 du 27 mars au 2 avril 2008) consacre son dossier central aux interdictions |  |
Ca fait du bien ! Enfin un journal qui ose (oui, le mot n'est pas exagéré) braver le politiquement et le sanitairement correct pour proposer une réflexion sur les enjeux des nouveaux interdits. Car le courage politique (et médiatique) consiste désormais à poser la question des limites de l'interventionnisme. Certains journalistes, sociologues, penseurs encore un peu libres en différents coins d'Europe ne se contentent pas de scander mécaniquement la sempiternelle rengaine sur "les méfaits du tabac". Au Royaume-Uni, on transgresse dans certains pubs et on s'interroge sur le choix entre paternalisme étatique et libéralisme. En Italie certains mettent en garde : "Gare à ces droits qui tuent la liberté !". En Allemagne, on dénonce "le sanitairement correct [qui] nous ramène au féodalisme" ou le fait que "L'interdiction de fumer revient à expulser les plus pauvres des lieux publics". En Russie (qui est sur le point de signer la convention-cadre pour la lutte antitabac de l'OMS) on anticipe et on constate que "De toutes les catégories humaines, la seule que l'on soit autorisé à considérer comme regroupant des citoyens de second ordre, c'est celle des fumeurs", tandis qu'en République Tchèque, on insiste sur des fléaux ou des nuisances plus graves ainsi que sur la "signification culturelle de la cigarette, cette petite folie malsaine".
Spartaclop vous invite à consulter dans sa Revue de presse l'éditorial de Philippe Thureau-Dangin consacré à ce sujet : Pas de progrès sans libertés et à acheter (incitation et pub tout à fait gratuite) Courrier International de cette semaine. Tout simplement parce que ça fait du bien le bruit des cerveaux qui réfléchissent et qu'un peu d'humanisme, ça réconforte.
SPARTACLOP
jeudi 27 mars 2008 |
| Les limites éthiques de la prévention sanitaire : extrait du rapport de l'IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) 2003 | Mise en ligne : lundi 24 mars 2008
Dans la conclusion du chapitre consacré aux problèmes éthiques, le rapport de l'IGAS pose de manière tout à fait convaincante les limites de la prévention sanitaire [parties en rouge soulignées par Spartaclop].
Il n'est pas dans la vocation de l'inspection générale des affaires sociales de se prononcer en termes scientifiques et politiques sur de tels débats, mais il est de son rôle de rendre attentif au fait que de « bons objectifs » de santé publique ne sauraient fonder, sans autre discussion, une politique dont on n'évaluerait pas les moyens utilisés, notamment au regard des libertés publiques et de la responsabilité des citoyens.
Tant du point de vue de l'éthique que de l'efficacité, la prévention, c'est sa limite et sa grandeur, ne peut être qu'un enjeu partagé, un espace démocratique préservé de tout zèle missionnaire dans la quête du bien-être, qui ouvrirait la porte à des dérives totalitaires.
Nous rejoignons l'IGAS, pour qui ces questions constituent Des enjeux d'importance et de complexité croissantes. Nous vous invitons à poursuivre le fil de cette réflexion et de la problématique posée dans ce chapitre très intéressant sur la page Rapports & Etudes de notre rubrique CA DONNE A REFLECHIR.
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| Taxer davantage le papier à rouler pour dissuader les jeunes de fumer du cannabis ou autre chose.... |  | Samedi 22 mars 2008
Encore une belle idée de quelques géo-trouvetout de l'Assemblée... S'ils croient que cette seule mesure va décourager les adeptes du joint, c'est qu'ils connaissent bien mal la réalité fumeuse. D'une part, s'il faut payer 60 centimes d'euros en plus pour un cahier de 100 feuilles, le supplément n'est franchement pas énorme. Qui plus est, les fumeurs de joints (sauf les très très gros, ce qui n'est pas la majorité) ne sont pas des "chain smokers". A raison de 2 feuilles par joint, un cahier de feuilles permet de fumer 50 joints. Donc 60 centimes d'euro tous les 50 joints, ça se trouve. Quitte à demander à ses parents d'augmenter l'argent de poche, à rogner sur d'autres dépenses... Mais en plus, si le papier est trop taxé, et bien les fumeurs de joints s'en passeront et ressortiront les chilums, les pipes (à quand une sur-taxe ?), les choubangs... et comme ça, ils seront stoned bien plus vite. Bref ! C'est du grand n'importe quoi. Mais ce qui est choquant, lorsqu'on lit l'article relatif à la taxation du papier à cigarettes, c'est que dans les motifs prioritairement avancés ce n'est pas la santé de nos jeunes qui vient en premier, mais bien le profit que l'état pourra en tirer. Jugez-en vous même :
Cette fiscalisation vise à améliorer la cohérence du dispositif législatif de lutte contre le tabagisme. Elle rapporterait quelque 100 millions d'euros à l'État. Elle permettrait en outre de responsabiliser les producteurs de papier à rouler, et bien sûr de protéger les jeunes consommateurs de l'accès à ce type de produit.
Cela permettrait donc 1) de rapporter de l'argent à l'Etat, 2) EN OUTRE etc. ; 3) enfin Bien sûr, etc. Et puis ça veut dire quoi "responsabiliser les producteurs de papier à rouler" ????? Ils vont arrêter de produire du papier à rouler ?
Donc l'Etat va se faire du beurre sur le dos des jeunes (et des moins jeunes) fumeurs de joints ! A l'heure où notre bon président veut réintroduire les leçons de morale au collège, il serait peut-être plus utile d'en réintroduire l'enseignement à l'Assemblée Nationale.
Voir l'article du Parisien consacré à ce sujet ainsi que la proposition de loi dans notre page Revue de presse |
| Quand la focalisation excessive des liens entre cancers et tabac sert à dissimuler les liens entre cancers et polluants chimiques | vendredi 21 mars 2008
Un article de SPARTACLOP
On a dénoncé à juste titre les conflits d'intérêts entre certains chercheurs et l'industrie du tabac. Comment accorder en effet un quelconque crédit à une étude " scientifique " quand celle-ci est directement payée par un client qui a tout intérêt à ce que les résultats lui soient favorables ?
Mais l'industrie cigarettière n'est pas la seule à vouloir forcer et fausser des résultats. La trop célèbre compagnie MONSANTO, de même que d'autres industries chimiques, use des mêmes procédés. Les cigarettiers et les fumeurs ont bon dos. L'invention du concept du tabagisme passif - visant à rendre les fumeurs directement responsables de cancers ou d'autres maladies chez les non fumeurs - et sa focalisation excessive par les media et une partie du corps médical, a pour conséquence de reléguer loin derrière la responsabilité des industries chimiques et les liens entre cancers et polluants chimiques. Pendant qu'on parle du tabac et de ses méfaits, on ne parle pas de PCB, de dioxine, et de roundup. Comme le rappelle Marie-Monique Robin dans son livre Le monde selon Monsanto. De la dioxine aux OGM, une multinationale qui vous veut du bien (Ed. La Découverte, 2008), le professeur Richard Doll, épidémiologiste britannique, qui fut " longtemps considéré comme l'un des plus grands cancérologues du monde, (…) s'était distingué pour avoir montré les liens entre le tabagisme et la genèse du cancer des poumons. Ayant osé dénoncer les mensonges des industriels de la cigarette, il avait une réputation d'incorruptible. En 1981, Sir Richard Doll avait publié un article très cité sur l'épidémiologie du cancer, dans lequel il affirmait que les causes environnementales jouent un rôle très limité dans la progression de la maladie… Seulement voilà : la légende a volé en éclats en 2006, lorsque The Guardian révéla que l'honorable Sir Doll avait travaillé secrètement pour Monsanto pendant vingt ans ! (…) En fait, le (gros) lièvre avait été levé par Lennart Hardell et ses collègues, auteurs d'un article très instructif dans le American Journal of Industrial Medecine, intitulé " Les liens secrets de l'industrie et les conflits d'intérêts dans la recherche sur le cancer (…) "
[L'article de Lennart Hardell et ses collègues est disponible - en anglais - et téléchargeable en cliquant sur le bouton ci-dessous]
Or les preuves scientifiques abondent et les liens entre le développement des cancers - et de nombreuses autres maladies - et causes environnementales sont avérées et de plus en plus révélées au public, comme le martèle à longueur de pages Marie-Monique Robin dans le réquisitoire implacable qu'elle fait contre Monsanto.
Comme nous ne cessons de le répéter sur ce site : l'arbre du tabac cache la forêt tout aussi voire plus dense d'industries qui ont tout intérêt à ce que l'on impute au seul tabac et aux fumeurs la responsabilité de la plupart des cancers et des maladies de la galaxie. C'est ce que tente également de démontrer pour partie Danielle Charest dans son livre Haro sur les fumeurs. Jusqu'où ira la prohibition ? [voir la présentation de l'ouvrage dans notre rubrique Livres]
Les effets de la pollution chimique sont immenses. Il serait peut-être temps que les journalistes scientifiques délaissent un moment le sujet du tabac et la "pollution des terrasses par les fumeurs" et commencent à s'intéresser sérieusement aux conséquences de la pollution chimique avec l'aide de scientifiques réellement indépendants. Mais là, c'est s'atteler à un autre scandale, celui du laisser-faire et de la culpabilité des gouvernements en raison de leurs liens et de leurs intérêts économiques avec les grandes industries, fussent-elles coupables d'empoisonner la planète et ses habitants. [voir à ce sujet dans notre rubrique Autres fléaux l'interview par le magazine Reporterre.net de Marc Laimé sans doute le meilleur expert actuel des questions d'eau sur la pollution massive du Rhône et du Rhin par les PCB Une crise sanitaire majeure minorée par le gouvernement]
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| Automédication : 226 médicaments vendus en libre-service d'ici mai 2008 |  | Mise en ligne : mardi 18 mars 2008
Source : Un homme.fr
Lien : http://www.unhomme.fr/page-al-226_medicaments_libre_service_1303089.html
Le ministère de la Santé prépare le décret qui, d'ici au mois de mai, permettra le libre accès dans les pharmacies de certains médicaments. Une liste de 226 produits, délivrés sans ordonnance, est en cours de finalisation.
"L'automédication responsable consiste pour les individus à soigner leurs maladies grâce à des médicaments autorisés, accessibles sans ordonnance, sûrs et efficace dans les conditions d'utilisation indiquées". Organisation Mondiale de la Santé, 2000
Les laboratoires pharmaceutiques, encouragés par l'OMS et l'OMC, poussent un peu plus loin leur offensive visant à élargir le marché de l'automédication et la vente de médicaments. Les pharmacies se transforment en épicerie. Plus de conseil, plus de mise en garde. Chacun pourra dès mai 2008, comme au supermarché, bourrer son caddie de 226 médicaments qui ne seront plus sur les présentoirs derrière le pharmacien. L'AFIPA (Association Française de l'Industrie Pharmaceutique pour une Automédication Responsable) constate avec satisfaction que le marché de l'automédication en France, qui représentait 1.9 milliards d'euros en 2007 est en évolution de +4.4% par rapport à 2006. Dans la conclusion de ce rapport, l'AFIPA atteste que les représentants de commerce des laboratoires pharmaceutiques font bien leur travail : "Des marques leaders en OTC [nota : OTC est un acronyme dérivé de l'anglais Over The Counter signifiant "devant le comptoir" en français] investissant fortement dans la communication auprès du patient et du pharmacien"
Parmi les laboratoires les plus offensifs en 2007 : Pfizer santé grand public, Boiron, Sanofi-Aventis OTC. "Le TOP 10 2007 des marques OTC strict en automédication" en chiffre d'affaires concerne la vente d'Humex, Nicorette, Strepsils, Nurofen, Oscillococcinum, Actifed, Fervex, Hextril, Lysopaïne, Niquitin.
La plupart de ces médicaments sont délivrés sans ordonnance. La notice qui se trouve A L'INTERIEUR de la boîte qui indique les contre-indications et les risques ne peut donc être consultée par le client-malade. Le VIDAL (annuaire des médicaments) recommande expressément pour chacun de ces médicaments en vente libre : "L'évaluation du risque éventuel lié à son utilisation est individuelle : demandez conseil à votre pharmacien ou à votre médecin.
Or un conseil ou une prévention des risques doit se faire AVANT l'achat. La frontière symbolisée par le comptoir du pharmacien et la mise en vente de ces médicaments DERRIERE le comptoir témoignaient que ces produits n'étaient pas des marchandises comme les autres. Les placer en libre-service va contribuer à banaliser l'absorption de médicaments et à se passer du conseil préalable à sa prise par un professionnel de santé.
Ainsi, comme l'atteste un pharmacien dans un article de La République du Centre du 16 mars 2008 :
"L'information pour éviter les accidents : c'est aussi ce que pointe du doigt Jean-François Philippe, président du syndicat des pharmaciens d'Eure-et-Loir. Lui est installé depuis 25 ans à Saint-Georges-sur-Eure et connaît tous ceux qui viennent chez lui. « Alors je me sens forcément responsable de ce qui peut leur arriver s'ils se servent seuls et qu'un accident a lieu », confie le pharmacien, plus que sceptique sur la modification de l'étiquetage à laquelle devront se plier les laboratoires, pour rendre la posologie plus visible sur les boîtes de médicaments. « C'est aussi notre travail de connaître le principe actif des médicaments pour conseiller et informer les patients. On ne vend pas des cacahuètes ! Avec de simples pastilles pour la gorge, on doit savoir si le patient est diabétique car il y a un risque ; même un Fervex mal prescrit n'est pas quelque chose d'anodin.»
" Je suis favorable à la vente de certains médicaments en libre service devant le comptoir. Cela devrait se faire dans les semaines qui viennent ", a déclaré, fin octobre, Roselyne Bachelot, ministre de la Santé
Pour lutter contre l'obésité infantile, la ministre de la Santé a demandé aux enseignes de la grande distribution de retirer "d'ici juin" les confiseries placées devant les caisses
A l'heure ou notre Ministre de la Santé, dans un souci de "santé publique", juge opportun de légiférer pour supprimer les présentoirs près des caisses qui proposaient des sucreries (il faut protéger nos enfants !) et de les reléguer dans les rayonnages, on peut être très étonné qu'elle nous incite à consommer librement du médicament sur des présentoirs dans les pharmacies. Que je sache, les sucreries n'ont jamais donné lieu à des overdoses, des mises en garde concernant des surdosages ou des risques d'interaction.
En revanche, pour un médicament tel que ACTIFED, par exemple, les recommandations sont les suivantes :
ACTIFED RHUME est contre-indiqué chez l'enfant de moins de 15 ans, en cas d'hypertension artérielle sévère ou mal équilibrée par le traitement, en cas d'antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risque susceptible de favoriser la survenue d'accident vasculaire cérébral, en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur, en cas d'allergie à l'un des constituants du produit, en cas d'insuffisance coronarienne sévère, en cas de risque de glaucome par fermeture de l'angle, en cas de risque de rétention urinaire liée à des troubles urétro-prostatiques, en cas d'antécédents de convulsions, en cas d'insuffisance hépatocellulaire en raison de la présence de paracétamol et en cas d'allaitement.
ACTIFED RHUME NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE UTILISE pendant la grossesse.
Avant de prendre ACTIFED RHUME, signalez à votre médecin si vous devez subir une intervention chirurgicale (y compris dentaire) dans les 2 prochains mois, nécessitant une anesthésie péridurale ou générale, signalez-le également à votre médecin.
Les sujets âgés ne doivent prendre ACTIFED RHUME que sous contrôle médical.
Les sportifs doivent savoir que ces substances contiennent des principes actifs pouvant induire des réactions positives aux contrôles antidopage.
Interactions médicamenteuses
ACTIFED RHUME est contre-indiqué en association à des médicaments vasoconstricteurs tels que bromocriptine, pergolide lisuride, cabergoline, ergotamine, dihydroergotamine ou d'autres médicaments destinés à décongestionner le nez qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale, (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine...), avec le méthylphénidate, en association avec les IMAO non sélectifs (iproniazide).
L'alcool et tous les médicaments dépresseurs du système nerveux central majorent l'effet sédatif de ACTIFED RHUME.
ACTIFED RHUME peut interagir avec de nombreux autres médicaments. Signalez tout traitement en cours à votre médecin.
Surdosage Le surdosage peut se manifester par des nausées, des vomissements, perte d'appétit, pâleur, douleurs abdominales. En cas de doute, contactez immédiatement le centre antipoison le plus proche ou faites le 15.
On peut également se demander si la vente de ces médicaments en libre service sera interdite aux mineurs ?
Bref ! Notre bon gouvernement est ici pris en flagrant délit d'incohérence sanitaire et d'hypocrisie. Quant aux malades-clients qui feraient n'importe quoi, que ce soit par ignorance, inattention ou délibérément, tant pis pour eux. Ils n'ont qu'à être responsables ! Et l'OMS et l'OMC pourront se réjouir : "Quand l'industrie du médicament va, tout va !
Rappelons que la France est déjà le 1er consommateur de médicaments en Europe et le 2ème au monde, après les Etats-Unis. Est-ce que nous avons réellement besoin d'en consommer davantage ?
Risquons donc notre santé pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques et appauvrissons-nous en payant des franchises médicales (en janvier 2008, les franchises ont déjà coûté 69 millions d'euros aux patients). C'est ça la conception de la responsabilité dans l'éden libéral.
SPARTACLOP
18/03/2008
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| | Qui est le Professeur Robert MOLIMARD et qu'enseigne-t-il à ses étudiants ? Portrait d'un pourfendeur du tabagisme qui n'oublie jamais d'être humain avant tout | Mise en ligne : 16/03/2008
CURSUS :
Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Médaille d'Argent de l'Internat, Ancien Chef de Clinique en Médecine Interne, Agrégé de Physiologie (1961), Professeur de Physiologie à la Faculté de Médecine de Poitiers puis à la Faculté de Médecine Paris-Sud, Ancien Chef de Service de Médecine Interne à l'Hôpital Max Fourestier (Nanterre), Centre de Tabacologie ExF.
(Cursus et travaux tirés du site de PARIS XI, Faculté de médecine Paris-Sud, DIU de Tabacologie, présentation des enseignants) :
En 1975, je commence à m'intéresser au phénomène de dépendance au tabac et à la nicotine à l'Unité INSERM de Chirurgie Expérimentale de l'Hôpital Paul Brousse à Villejuif (Pr MONSAINGEON), puis à partir de 1977, dans mon propre laboratoire de Médecine expérimentale à l'UFR Biomédicale des Saint-Pères à Paris. Je travaille sur la recherche de modèles animaux (essais d'autoadministrations chez le Rat) et, sur l'Homme, sur le comportement des fumeurs et les effets psychoactifs de la nicotine et du tabac.
En 1977, j'ouvre et assure personnellement à l'Hôpital de la Maison de Nanterre une consultation de tabacologie. En 1981, j'organise la Première Journée de la Dépendance Tabagique à l'UFR Biomédicale des Saints-Pères à Paris, puis fonde le 16 Décembre 1983 avec le Pr Jeannine Louis-Sylvestre, le Pr Gilbert Lagrue, le Pr Patrick Mac Leod et le Dr Maud Cousin la Société d'Etude de la Dépendance Tabagique. Son but est de promouvoir la recherche scientifique sur le tabac et la dépendance, et d'en diffuser les résultats.
En 1986, j'organise à Paris V le D.U. "Dépendance Tabagique et phénomènes Comportementaux Apparentés", préfigurant l'Addictologie. C'est le premier enseignement universitaire en France sur le tabac.
En 1990, la Société devient "Société de Tabacologie", et le Diplôme " D.U. de Tabacologie". En 1992, il est transféré à la Faculté de Médecine PARIS-SUD (Kremlin-Bicêtre). En 1996, il devient D.I.U. de Tabacologie en s'associant à la Faculté de Créteil. Le Conseil National de l'Ordre des Médecins reconnaît alors ce Diplôme, avec
équivalence pour les anciens titulaires du DU.
En 1997, je crée le label Ex-F, qu'accorde la Société de Tabacologie à des consultations ayant signé une charte d'éthique. En désaccord avec l'orientation de la Société qui change de nom depuis, je la quitte en 2004, et le label est désormais accordé par la Société d'Addictologie Francophone dont je préside la Commission Tabac.
Bien que Professeur Honoraire de la Faculté Paris-Sud, je continue à organiser l'enseignement du DIU. Je dispose actuellement d'un Laboratoire de Recherches à l'Etablissement Public de Santé Paul Guiraud à Villejuif, et y ai ouvert un Centre de Tabacologie Ex-F avec consultations gratuites accessibles à tous.
CI-DESSOUS, COURS D'INTRODUCTION DU PROFESSEUR MOLIMARD A SES ETUDIANTS PREPARANT LE DIU de TABACOLOGIE A PARIS XI (l'intégralité du cours est téléchargeable en cliquant sur le bouton ci-dessous - les parties surlignées en jaune sont le fait de la rédactrice du site SPARTACLOP)
Extraits :
- La première qualité d'un professionnel de santé est l'humanité.
- la première victime du tabagisme est le fumeur (...) Nos futurs tabacologues ne devraient pas l'oublier, au risque de tomber dans la barbarie
- Le troisième objectif n'est pas de former des "activistes anti-tabac", mais des experts, et des praticiens éclairés, capables de mettre en oeuvre avec efficacité les notions théoriques. Ce cours ne définit pas ce qui est "Le Bien" et ce qui est "Le Mal". Vous entendrez des opinions contradictoires. Certaines pourront choquer vos convictions. Mais c'est voulu, parce que la vie c'est la diversité et le mouvement.
Je serais comblé si, au sortir de cet enseignement, vous aviez pu développer en vous ces deux
qualités qui sont la source unique de tout progrès :
1.- L'absence de préjugés, de censure systématique.
2.- Le DOUTE SCIENTIFIQUE, la mise en cause des dogmes, des solutions "de bon sens" non évaluées, des résultats biaisés voire truqués. Toute l'histoire des sciences n'est qu'un long, laborieux et incertain combat contre des certitudes, des vérités révélées et, de plus en plus, des truquages de vérité par ceux qui espèrent en tirer profit, qu'il s'agisse de gloire et d'honneurs ou de bénéfices matériels.
Ce problème des CONFLITS D'INTÉRÊTS devient actuellement aigu, compte tenu des énormes enjeux financiers en relation avec la santé publique et les dépenses de santé.
- Personnellement, je déclare que je n'ai avec les industries tabagière ou pharmaceutique que des échanges scientifiques, qui ne constituent pas des liens. Je n'en tire aucun avantage financier ou en nature. Membre du Formindep (http://www.formindep.org), je milite au contraire pour une formation des professionnels de santé qui soit indépendante de toute pression commerciale.
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| Toute la vérité, rien que la vérité sur le tabagisme passif par le professeur Molimard | QUAND LE PROFESSEUR MOLIMARD DENONCE LA MANIPULATION DES CHIFFRES DU TABAGISME PASSIF : (le document complet est téléchargeable en cliquant sur le bouton ci-dessous)
Extraits:
- A vouloir trop prouver, on ne prouve plus rien. A se laisser entraîner dans une surenchère sans un support scientifique solide, on ne peut que décrédibiliser toute action, armer une résistance, susciter des conflits. A accumuler les interdictions et les contraintes, on se prépare une société morte.
- Sur la toxicité de la fumée passive :
Plus une combustion est lente, plus la fumée est épaisse, acre, riche en goudrons et en oxyde de carbone. C'est le cas entre les bouffées d'une cigarette, ou quand elle se consume lentement dans un cendrier. Nul besoin d'analyse compliquée, ça se sent et l'on se précipite pour écraser le mégot encore fumant. En comparaison avec celle qu'inhale le fumeur, qui active la combustion en aspirant, cette fumée dite "secondaire" est beaucoup plus riche en substances toxiques. Mais c'est lorsqu'elle est émise! Dès qu'elle est diluée dans le grand volume d'une pièce, cette comparaison n'a plus aucun sens. Il n'y a pas le fumeur qui inhale une fumée moins toxique, et le non-fumeur qui met son nez sur le cendrier pour capter au lieu de production celle de la cigarette qui s'y consume passivement ! On en rajoute pour faire scientifique et impressionner les foules. C'est une distorsion de la vérité; | |
| Une chanson célèbre de 1931 interprétée par Berthe Sylva, du temps où le tabac n'était pas encore censuré | 
Mise en ligne : samedi 15 mars 2008
Berthe Sylva
DU GRIS
Paroles : E. Dumont, musique: F. L. Benech
Hep! Monsieur, une cigarette!
Une cibiche, ça n'engage à rien,
Si je te plais, on fera la causette,
T'es gentil, t'a l'air d'un bon chien.
Tu se rais moche, ça serait la même chose,
Je te dirais quand même que t'es beau,
Pour avoir, t'en devines bien la cause,
Ce que je te de mande, une pipe, un mégot.
Ah, non! Pas l'anglaise, ni le bout doré,
Ces tabacs-là c'est du chiqué.
Du gris, que l'on prend dans ses doigts
Et qu'on roule
C'est fort, c'est acre, comme du bois,
Ça vous soûle.
C'est bon et ça vous laisse un goût
Presque louche
De sang, d'amour et de dégoût,
Dans la bouche.
Tu fumes pas, ben t'en a de la chance,
C'est que la vie, pour toi, c'est du velours,
Le tabac, c'est le beau de la souffrance,
Quand on fume, le fardeau est moins lourd.
Y'a l'alcool, me parle pas de cette bavarde,
Qui vous met la tête à l'envers,
La rouquine qu'était une pocharde,
À vendu son homme à Deibler.
C'est ma morphine, c'est ma coco,
Quoi? C'est mon vice à moi le perlo.
Du gris, que l'on prend dans ses doigts
Et qu'on roule
C'est fort, c'est acre, comme du bois,
Ça vous soûle.
C'est bon et ça vous laisse un goût
Presque louche
De sang, d'amour et de dégoût,
Dans la bouche.
Monsieur le docteur, c'est grave ma blessure?
Oui je comprends, y a plus d'espoir,
Le coupable, j'en sais rien je vous le jure,
C'est la rue, le métier, le trottoir.
Le coupable, au fait, je vais vous le dire,
C'est les femmes avec leur amour,
C'est le coeur qui se laisse séduire,
La misère qui dure nuit et jour.
Ah, et puis je m'en fous, te nez, donnez-moi,
Avant de mourir, une dernière fois,
Du gris, que dans mes pauvres doigts
Je roule
C'est bon, c'est fort, ça monte en moi,
Ça me soûle.
Je sens que mon âme s'en ira,
Moins farouche
Dans la fumée qui sortira
De ma bouche.
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| La lettre du chercheur Kamal T. Chaouachi à France 3 qui dénonce la censure médiatique à l'égard des scientifiques qui n'adhèrent pas aux arguments des anti-tabac | jeudi 13 mars 2008
Attention personnelle : Marie-Laure AUGRY, médiatrice des rédactions de France 3,
CC : Maître Jacques VERGES, avocat de l'UPN (Union des Professionnels du Narguilé)
Madame,
Vous vous souviendrez que je vous ai interpellée au mois de juin dernier au sujet de la couverture, par les équipes de FR3, d'un événement très suspect (copie plus loin de la correspondance, pour mémoire). Aujourd'hui, je me permets de vous alerter une seconde fois au sujet d'un reportage réalisé par votre rédaction sur le même sujet.
Hier 12 mars, aux environs de 15 heures, se tenait une conférence de presse dans le salon néo-orientaliste HOUARA LOUNGE (40, rue Raymond Losserand, 75014 Paris). Son gérant, dans un état critique, est en grève de la faim depuis plus de trois semaines pour protester contre l'inanité du décret anti-tabac [1]. J'ai été invité à exposer le point de vue scientifique sur ce que l'on sait du « tabagisme passif » par le narguilé en répondant, face à la caméra de FR3, aux questions de la journaliste. L'essence de mon propos se trouve dans un document accessible sur la Toile et il va sans dire qu'il s'oppose à celui de Bertrand DAUTZENBERG et des organisations anti-tabac (OFT, CNCT) omniprésentes dans le champ médiatique [2].
Or, pour une raison non expliquée, votre équipe a soudain mis un terme au tournage (« Coupez ! »). Votre caméraman a alors tenté de justifier son intervention en déclarant que son père était décédé à cause du tabac et que ce dernier était nocif. Je lui ai répondu que, pour ma part, j'ai toujours déclaré que le tabac est en effet nocif mais que le fait que je ne sois pas d'accord avec le point de vue généralement officialisé par les médias ne signifie nullement que je fasse l'apologie du tabagisme. Toutes mes publications scientifiques le montrent [3].
Je crois avoir le droit de critiquer ce que je considère une mystification monumentale au sujet du « tabagisme passif » du narguilé sur la base d'une argumentation scientifique. En d'autres termes, le public a le droit de « savoir » et pas seulement de « subir » une vision univoque de l'information préparée à la base par les activistes anti-tabac. Une telle situation me semble en effet indigne d'une démocratie digne de ce nom.
Je défends le droit de ces organisations anti-tabac à discourir sur le narguilé ou toute autre forme de tabagisme et d'en dénoncer tous les dangers qu'elles jugeront « démontrés scientifiquement » ou potentiels. Cependant, comme chercheur scientifique spécialisé sur ce sujet depuis une dizaine d'années, je revendique simplement le droit d'exposer mes conclusions sur le sujet afin qu'en dernier ressort le public soit laissé libre de juger par lui-même de la valeur des arguments des uns et des autres.
Par conséquent, je sollicite une intervention rapide de votre part qui se matérialisera par une exposition ou confrontation impartiale sur votre chaîne des deux points de vue en présence et non pas d'un alignement exclusif sur l'un d'entre eux décidé par un membre du personnel pour des raisons personnelles.
Comme vous comprenez, il en va de la crédibilité de l'éthique des pratiques éditoriales revendiquée haut et fort dans les démocraties modernes. Je compte sur votre diligence dans l'action en vous informant que je reste à votre disposition pour vous rencontrer personnellement à ce sujet. Je me tiens également prêt également à vous fournir une liste des témoins de l'événement malheureux d'hier à la conférence de presse; entre autres, des journalistes ainsi que de nombreux stagiaires de l'Associated Press.
Dans l'attente, je vous prie d'accepter, chère Madame, mes respectueuses salutations,
Dr Kamal T. Chaouachi
Chercheur en anthropologie médicale. Chargé du cours sur le narguilé dispensé à la Faculté de médecine de Paris Sud (DIU de tabacologie). Chercheur associé au Multan Institute of Nuclear Medicine. Membre du Comité Scientifique de Tabaccologia, organe officiel de la Société Italienne de Tabacologie.
[1] Grève de la faim : http://houara.oldiblog.com/
[2] Chaouachi K. Le « tabagisme passif » du narguilé est un leurre [The Invention of Hookah (shisha, narghile) Passive Smoking] (17 Feb. 2008)
http://docs.google.com/Doc?id=dgbz283m_129ck542qgz
[3] Recherche scientifique sur le narguilé: http://PublicationsList.org/kamal.chaouachi
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| A Quimperlé, rébellion contre le décret anti-tabac | Ouest France, 9/03/2008
Plusieurs bars du secteur laissent leurs clients fumer et certains le revendiquent. Une rébellion qui pourrait faire tache d'huile.
Pour lire la suite, aller à la Revue de presse
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| Je suis non-fumeur. Pour la première fois depuis l'interdiction, je suis allé faire un tour dans le café en bas de chez moi. L'air est pur. Mais qu'est-ce qu'on s'emmerde.Thibault R. 03.01.08. Forum Le Monde
__________ |
| La forme est légère mais le fond l'est moins : quand Didier Bourdon dénonce en chanson tous les interdits de notre société | |
| L'interview exclusive du Professeur Molimard le 27 janvier 2008 par Doktor Glub | Contestation des données scientifiques relatives au tabagisme passif, aux "substituts" nicotiniques et autres contre-vérités à propos du tabac.
Robert Molimard est professeur honoraire de physiologie et coordinateur du DIU de Tabacologie à la Faculté de Médecine Paris-Sud, fondateur de la première société savante française sur le tabac et le tabagisme, inventeur du mot tabacologie.
Cliquez sur l'image pour avoir directement accès au lien
POUR LES SOURDS ET MALENTENDANTS, UNE RETRANSCRIPTION ECRITE DE L'INTERVIEW DU PROFESSEUR MOLIMARD SE TROUVE DANS NOTRE PAGE CA DONNE A REFLECHIR, sous-rubrique TEXTES D'OPINION
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| | | | UN NOUVEAU SITE DE RESISTANTS EN SUISSE : Les Dissidents De Genève (DDG) |
La situation politique et juridique à Genève est la suivante actuellement :
Les citoyens de l'Etat de Genève ont approuvé le 24 février 2008 à 80 % contre 20 % une nouvelle loi constitutionnelle prohibant la fumée dans tous les lieux publics, avec quelques exceptions. Un règlement provisoire prohibant la fumée à Genève entrera en vigueur le 1er juillet 2008. Deux citoyens (l'un fumeur, l'autre non fumeur) ont recouru au Tribunal fédéral (la plus haute instance judiciaire du pays) contre ledit règlement en demandant son annulation et un effet suspensif.
Pendant ce temps, le Parlement fédéral (Berne) prépare une loi similaire applicable à tout le pays et prohibant la fumée dans tous les lieux publics. Le droit fédéral (Berne) prime le droit de l'Etat de Genève. Les deux Chambres fédérales (bicamérisme) ne sont pas encore tombées d'accord sur la liste d'exceptions à prévoir, où il sera permis de fumer...entre fumeurs (sans personnel tiers exposé à la fumée).
Genève compte 447'000 habitants. 131'00 citoyens ont approuvé la prohibition par scrutin populaire le 24 février dernier (ce que vous appelez "referendum") alors que 29'000 s'y sont opposés.
Nous, Dissidents de Genève, avons dès lors adressé une pétition au gouvernement de Genève pour étendre la liste d'exceptions prévues . DDG
Pour accéder directement au site, cliquer sur l'image ci-dessous.
Nous tiendrons régulièrement informés les lecteurs de SPARTACLOP des différentes initiatives et formes de protestations de nos amis genèvois dans notre rubrique L'interdiction de fumer à l'étranger
SPARTACLOP
lundi 28 avril 2008
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| | | | MERCI | SPARTACLOP fait son chemin après seulement 3 mois d'existence. Il a déjà été visité des pays suivants :
Algérie, Allemagne, Autriche, Belgique, Bénin, Bouthan, Bulgarie, Canada, Chine, Côte d'Ivoire, Espagne, Etats-Unis, Grèce, Guadeloupe, Guyane, Inde, Italie, Japon, Jordanie, Luxembourg, Malaisie, Mexique, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Réunion, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Suède, Suisse,Togo, Tunisie.
Après la France (of course), le pays où nous sommes le plus lu est les Etats-Unis.
Quant au nombre de visites, elles ont augmenté de 80 % à la fin du mois de mars.
Etant tout à fait novice en matière de création de site au début de cette aventure, et pas encore au point en matière de référencement, nous ne sommes pas peu fier de ces débuts ! Et ce d'autant que nous n'avons aucune bannière publicitaire. La meilleure publicité, c'est vous qui la faites.
Merci à tous les lecteurs fidèles qui ont élu domicile en SPARTACLOPIE, ainsi qu'à ceux qui n'y ont fait qu'une brève escale. Et merci de vos encouragements.
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| | | |  | LE PREMIER JEUDI DE CHAQUE MOIS, SUR ALIGRE FM (93.1)
DANIELLE CHAREST FAIT LE POINT DE LA LUTTE ET DES ACTIONS ANTI-DECRET DANS L'EMISSION DE GENEVIEVE MOLE Coup de main, coup de pouce de 9h30 à 10h00
Prochain rendez-vous jeudi 5 juin 2008 |
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| | | | Mardi 5 février 2008 : Les antitabac veulent désormais supprimer les terrasses fumeurs en France | Se sentant invulnérables depuis l'interdiction totale de fumer dans les bars, restaurants et discothèques, les antitabac sont décidés à se réserver l'usage exclusif des terrasses aménagées et d'en chasser les fumeurs. Suite à différentes plaintes de non fumeurs dont l'odorat très sélectif perçoit encore les bouffées de tabac venant du dehors, mais bizarrement pas les gaz d'échappement, et qui n'envisagent pas de partager les terrasses avec les fumeurs l'été prochain, DNF (Droit des Non Fumeurs) a annoncé qu'une série de mesures comparatives va être entreprise prochainement.
L'objectif de ces mesures de CO, de CO² et de particules fines est de fournir des indications sur le degré de pollution tabagique des terrasses en fonction de l'importance de leurs ouvertures, notamment dans les espaces chauffés par des appareils à gaz. L'association ajoute que si les résultats traduisent une forte pollution dans un nombre important d'établissements, elle espére que des mesures radicales seront prises en vue de l'interdiction totale de fumer sur les terrasses. Cette nouvelle réjouira, j'en suis sûre, tous les patrons qui viennent d'investir dans des appareils chauffants et dans les aménagements des terrasses.
Ne nous y trompons pas : ceci n'est que le début d'une longue série d'interdits sanitaires et d'abus qui vont aller croissant. Et qui se font, avec l'aval de la Commission Européenne, sous l'égide de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) qui, rappellons-le en passant, faisant fi du principe de non-discrimination à l'embauche, interdit aux fumeurs de travailler en son sein. Bientôt les Etats-Unis d'Europe auront une législation aussi répressive et régressive que celle des Etats-Unis d'Amérique, terre supposée des libertés individuelles.
Les questions que je me pose et que je vous pose sont les suivantes : jusqu'où iront ces nouveaux fanatiques ? Et jusqu'où les laisserons-nous aller ? Que sommes-nous prêts à faire, en France, terre supposée des Droits de l'Homme, individuellement ou collectivement, pour mettre un terme à la mise sous tutelle de nos comportements et à la traque impitoyable du moindre de nos petits plaisirs, et pour défendre notre espace vital ? |
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| | | | HORS DE FRANCE : | Mark Harris, membre de Freedom2choose, a décidé de faire le tour du Royaume-Uni en 90 jours et de visiter 1000 pubs. Il milite pour un assouplissement de la loi antitabac et pour éviter d'autres fermetures de pubs. Dans sa page d'accueil, il adresse un message de soutien à tous les patrons de bars français entrés en résistance. Adressons-lui à notre tour tous nos encouragements pour son projet.
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| | | |  | | La seule cigarette qu'il sera bientôt possible de fumer : la cigarette russe |
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